Et maintenant ...

Rappelez-vous, au commencement de ce blog, je pesais 187 kilos.
Hé oui....
Au jour d'aujourd'hui, je fais 148 kilos (bon je sais, il y a encore beaucoup de travail).
Mais au final, qu'est-ce que cela fait d'être en dessous de la fameuse barre des 150 kilos?
Quels sont les changements les plus visibles?
Et le petit truc à peine perceptible mais fort agréable au quotidien?
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| N° 1: De la légèreté, bien évidemment. Plus facile de se déplacer avec une perte de 39 kilos. Cela va de soi. |
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| N° 2: Je peux monter sur une échelle car celles-ci ( du moins la mienne) sont calibrées pour un poids maximal de 150 kilos.
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| N°3: Je passe entre les barres de la brouette. Finit de pousser la brouette avec les bras tendus à me "péter" le dos. |
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| N°4: Finit de se mettre de biais pour passer la porte. Je peux enfin regarder l'ouverture de face et surtout la franchir de face cette porte. |
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| N°5: Prendre le temps de se doucher en atteignant tous les endroits de son corps: le derrière des genoux; toucher ses pieds pour bien les frotter;etc. |
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| N°6: Pouvoir s'essuyer les fesses sans jouer les contorsionnistes car vos fesses sont trop grosses donc les bras trop court pour aller à l'endroit désiré. (désolée si je vous choque mais se fut la réalité) |
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| N°7: Ne plus être essoufflé au moindre déplacement, pouvoir marcher un peu plus vite. |
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| N°8: Je peux croiser mes pieds quand je suis debout. Mes mollets sont beaucoup moins gros. |
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| N° 9 Je rentre dans ce style de chaises de salon de jardin: les fauteuils. Malheureusement les autres chaises avec accoudoirs c'est pas possible. Un jour... |
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| N°10 Je ne ronfle plus au grand plaisir de mon mari... et je dors mieux |
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| N°11 Mes vêtements commencent à être trop grand. Je marche sur mes pantalons et j'ai perdu une taille pour le buste. |
La liste peut-être encore plus longue, mais voici quelques exemples parmi tant d'autres.
Ils me tiennent tous à cœur et j'espère que cette liste va continuer à s'allonger.
Il me tarde de pouvoir me mettre à genoux sans avoir mal aux genoux; il me tarde de pouvoir rentrer mes hanches dans la plupart des chaises avec accoudoirs (c'est mon plus gros problème l'été); mais il me tarde encore plus de pouvoir me mettre en jean.
Mais chaque chose en son temps. Le principal c'est d'y croire et surtout de se donner les moyens d'y arriver.
Affectueusement.
Lili.